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Magnus eroticus

Quand Manos Hadjidakis

rencontre Dowland et Purcell

Sur une idée originale d'Andreas Linos

22 interpretes

Durée : 1h15

1 soprano

1 tenor

quatuor vocal alto / 2 Tenor / Basse

Choeur d'enfant (minimum 9)

1 dessus de viole

1 tenor de viole

1 basse de viole

2 luth / theorbe / cistre / bandora

1 harpe

1 clavecin / orgue

Magnus Eroticus est né d'une discussion entre la Fondation Niarkos - Opéra National d'Athènes et Andreas Linos. Le point de départ était le désire de célébrer le grand compositeur grec Mános Hadjidákis, peu connu en France, mais aussi célèbre dans son pays d'origine que Míkis Theodorákis.

Suite à cette discussion, commande a été passée à Miguel Henry de transposer un cycle de mélodies de Hadjidákis dans l'Angleterre du 17ème siècle.

Cette idée étonnante, un peu folle même, s'appuyait sur des proximités instrumentales : l'effectif du brocken consort anglais rassemble des instruments à cordes pincées variés, des instruments à cordes frottées et éventuellement un instrument à vent (ici, l'orgue). L'effectif présent dans l'enregistrement de Mános Hadjidákis, mêlant guitare, piano, violoncelle, etc... se rapproche beaucoup.

Maigre passerelle, mais tout l'enjeu était de permettre aux deux mondes de dialoguer. Le résultat est saisissant !

Une œuvre à découvrir, pour deux voix solistes, chœur d'hommes, chœur d'enfants et orchestre de chambre.

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